Badou, 19 mai (ATOP) – Les cadres du parti Union pour la République (UNIR), de la préfecture de Wawa, ont organisé le dimanche 19 mai à Badou dans la commune Wawa1, une messe catholique et un culte protestant d’action de grâce à Dieu suite au scrutin législatif et régional apaisé sans violence du 29 avril dernier et surtout pour la victoire du parti UNIR à ce double scrutin.
Cette messe catholique et ce culte protestant d’action de grâce et de célébration de la victoire du parti UNIR à ce double scrutin, sont une occasion pour les cadres UNIR, des militants et sympathisants, de rendre grâce à Dieu, le créateur pour avoir permis au Togo d’organiser ce double scrutin dans la paix, la sérénité, la cohésion sociale et dans la quiétude. C’est également une aubaine pour eux de remercier tous ceux qui ont prié pour la victoire du parti UNIR à ces élections.
Pour rendre gloire au Seigneur pour des élections législatives et régionales sans violence et dans la paix et la victoire de UNIR, le curé de la paroisse Saint François Saviez de Badou, le père Saï Toussaint et son homologue pasteur Voulé Kossi de l’église protestante, se sont inspirés des actes des apôtres chapitres 2 verset 1 à 11, Galate 5 verset 16 à 25 et de l’évangile de saint Jean 15, versez 26 à 27 et chapitres 16, verset 12 à 15, pour appeler les fidèles chrétiens dans leurs diversité à la fraternité et à l’amour du prochain surtout en ces moments de Pentecôte où l’esprit Saint vient gratifier les chrétiens de ses dons. Cette fête de pentecôte doit être une fête de renouveau pour tous les Togolais dans leurs diversités, après ces élections législatives et régionales apaisées.
Une prière musulmane a été dite à la mosquée centrale de Badou, par l’imam Djibril Ibrahim le vendredi dernier, pour les mêmes intentions.
Était présent à ces offices religieux, les autorités préfectorales, communales, militants et sympathisants au-devant desquelles se trouvait entre autres, le préfet Soménu Atsu Yinassè, le secrétaire préfectoral UNIR, Agbo Koudjo, le nouveau député Assémoassan Koudjo Édém et la miss-Togo Nathalie Yao-Amuama.
ATOP/PM/KYA